The DioField Chronicle

Alors, cette démo de The DioField Chronicle, ça donne quoi ?

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Bienvenue dans l'univers impitoyable de la démo de The DioField Chronicle ! En ligne depuis aujourd'hui, il est possible à quiconque possédant une PS4, PS5, Xbox One ou Séries ou encore Nintendo Switch de tester la toute nouvelle licence de Square Enix ! 

Non content d'avoir mis la main sur cette démo, que nous devions recevoir plus tôt par Square Enix. Pour la petite histoire, le mail de proposition a atterri dans les spams du mail de JRPGFR. Quel dommage de ne pas pouvoir sortir cet avis en même temps que les grands médias. Kuro et moi-même avons testé la démo sur différents supports (PS4, Nintendo Switch, PC) pour vous donner notre ressenti.

Mais revenons-en à l'essentiel, quelles sont nos impressions lors de l'essai de cette démo ?

The DioField Chronicle - Une histoire mature

Nous avons pour ainsi dire moyennement compris l'histoire, si ce n'est que le jeu parle d'une grande guerre entre plusieurs continents frontaliers. The DioField Chronicle prend place dans un univers médiéval où le monde des hommes est embourbé dans une guerre à durée indéterminée. Les batailles ont pour but de mettre la main sur l’île de Diofield pour ses gisements de jades. Vous aurez entre vos mains le commandement des “Renards bleus”, un groupe de mercenaires d’élite. Reste à savoir si l'avenir des Renards bleus sera synonyme d’espoir ou au contraire de drame sanglant.

The DioField Chronicle

Franchement, le côté très mature et pompeux du scénario ne nous a pas particulièrement touchés. Encore une trame narrative qui prend des proportions énormes et qui ne se concentre que très peu sur les personnages que nous contrôlons. Espérons que l'histoire arrivera, au-delà du chapitre 1, à se focaliser un peu plus sur les protagonistes. Quand on voit comment Xenoblade Chronicles 3 arrive à centrer son histoire sur six personnages dans un conflit mondial gigantesque, on peut se dire que tous les scénaristes n'ont pas le même talent.

Un level design convaincant

En ce qui concerne la jouabilité et les mécaniques de jeu, nous pensons que les jeux de stratégie sont parmi les plus difficiles à appréhender. Si l'on jette les joueurs dans le grand bain, ils seront submergés, mais si on les bichonne trop avec une foule de tutoriels, le rythme laissera tout le monde sur la touche. The DioField Chronicle possède un level design de très bonne qualité de par sa simplicité et son côté intuitif. Pour preuve, les pages de tutoriel n'apparaissent qu'après l'exécution d'une action en particulier et sont pour nous, pas très utiles. Ce qui est un bon point.

Vous contrôlez un groupe de quatre héros avec différentes classes, et donc, capacités. Des combattants de base qui attirent l'attention, un chevalier et sa monture qui peut cibler les ennemis, des archers pour les attaques à distance et des mages guérisseurs. Il n'y a pas de grille sur le sol car tout se passe en temps réel. Vous pourrez aussi, vous liez avec un personnage secondaire qui ne sera pas jouable mais qui vous conférera ses compétences. C'est drôlement chouette !

The diofield Chronicle

Ce qui vous oblige à revoir souvent votre positionnement et utiliser des capacités spéciales à bon escient car chacune d'entre elles a sa propre zone d'effet, un peu comme dans Lost Sphear de Tokyo RPG Factory. Vous avez aussi accès à des compétences qui dépassent l'entendement. L'attaque du Bahamut nous a laissé totalement stupéfait !

The diofield Chronicle

Naturel - Le jeu semble, à mon sens, plus adapté au combo clavier souris qu'à la manette.

Kuro - C'est vrai, les batailles à la souris sont beaucoup plus intuitives et plus fluides. On retrouve assez rapidement les raccourcis. L'avantage de la souris est la sélection instantanée d'une partie du groupe pour le déplacement, ce qui reste difficile avec une manette car le cercle de sélection englobe maladroitement la partie de l'équipe désirée. Tout est cliquable, et donc, plus besoin de passer plusieurs secondes à naviguer dans les menus pour effectuer une action.

The DioField Chronicle c'est plutôt propre graphiquement

Kuro - J'aime beaucoup la direction artistique du titre qui me fait penser à un mélange de Bravely Default et Fire Emblem. Les zones de combat sont soignées, même si les décors ne sont pas à la même échelle que celle des personnages.

Naturel - Sur PS4, le jeu est particulièrement propre. Même si le design des personnages est comme une crevette : le corps est bon mais la tête ne sert à rien. Les animations en combat sont bien réalisées. Les compétences des personnages le sont tout autant. Les costumes des personnages collent au côté médiéval du jeu, je les trouve sublimes.

Les jeux de lumière sont sublimes et les dioramas sont d'une qualité exemplaire. Même si nous ne sommes pas sur une production qui mise tout sur les graphismes, les textures sont de qualité autant sur Nintendo Switch que sur les consoles next-gen.

Pour conclure sur la démo de The DioField Chronicle

Kuro - Le chapitre 1 nous montre suffisamment de choses pour comprendre où le jeu veut nous amener. Je trouve que conceptuellement le jeu reste de très bonne qualité. Un level design convaincant, une direction artistique soignée, et qui plus est, il bénéficie de bonnes performances qu'importe le support sur lequel vous jouez. J'aurais tout de même une préférence pour la version PC car le combo clavier/souris tire réellement de sacrés avantages. Je vous conseille donc la version PC.

Naturel - Pour ma part, nous avons accès à un jeu d'une proportion épique de par son histoire. Mon ressenti est le suivant, je pense que Square Enix, en se lançant dans ce genre, veut concurrencer la licence Fire Emblem de Nintendo.

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Naturel
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Bonjour,
Laurent dit "Naturel" ou encore "Renault". Créateur de jeux de mots et à l'humour douteux, mais toujours drôle ! J'aime faire des rapprochement entre jeux vidéos et société.
Fan de la licence Final Fantasy par laquelle j'ai commencé à jouer aux RPG japonais, sans savoir que c'en étaient.
Mes jeux préférés sont FFVIII et Tales of Vesperia, mais amateur de tous jeux vidéos, exceptées les simulations sportives.

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